Celui des trois cents et quelques petits écoliers listracais qui rentre le soir chez lui sain et sauf, peut s’estimer chanceux.

Il aura évité la voiture qui aura reculé sans le voir sur le parking de l’école complètement saturé ; évité la voiture qui déboule de Libardac et qui respecte très rarement le passage pour piétons, permettant de rejoindre le parking de la poste où se trouve la voiture de ses parents.

Il n’aura pas eu non plus la malencontreuse idée de s’échapper du côté de la RD1215 où passent, à grande vitesse, les voitures, et près de laquelle sa maman, faute de places ailleurs, aura dû garer son véhicule.

Bref, c’est un petit veinard qui rentrera chez lui sans encombres, après avoir échappé à tous les pièges que lui a tendu une infrastructure communale aberrante en matière de sécurité.

Les exemples fleurissent malheureusement à profusion dans cette commune si peu soucieuse de la sécurité de ses jeunes habitants.

C’est pourquoi ce numéro de La Vigie est consacré en grande partie à la sécurité dans le village.

Ceux qui ont le devoir de l’assurer, les élus, ont préféré investir ailleurs.

A Listrac-Avance, nous sommes persuadés au contraire que c’est bien dans ce domaine qu’il fallait porter en priorité les efforts communaux.

Car la vie d’une personne et, à fortiori celle d’un enfant, n’a évidemment pas de prix. Surtout pas celui d’une salle socio-culturelle pharaonique à la nécessité plus que douteuse……..

Celui des trois cents et quelques petits écoliers listracais qui rentre le soir chez lui sain et sauf, peut s’estimer chanceux.

Il aura évité la voiture qui aura reculé sans le voir sur le parking de l’école complètement saturé ; évité la voiture qui déboule de Libardac et qui respecte très rarement le passage pour piétons, permettant de rejoindre le parking de la poste où se trouve la voiture de ses parents.

Il n’aura pas eu non plus la malencontreuse idée de s’échapper du côté de la RD1215 où passent, à grande vitesse, les voitures, et près de laquelle sa maman, faute de places ailleurs, aura dû garer son véhicule.

Bref, c’est un petit veinard qui rentrera chez lui sans encombres, après avoir échappé à tous les pièges que lui a tendu une infrastructure communale aberrante en matière de sécurité.

Les exemples fleurissent malheureusement à profusion dans cette commune si peu soucieuse de la sécurité de ses jeunes habitants.

C’est pourquoi ce numéro de La Vigie est consacré en grande partie à la sécurité dans le village.

Ceux qui ont le devoir de l’assurer, les élus, ont préféré investir ailleurs.

A Listrac-Avance, nous sommes persuadés au contraire que c’est bien dans ce domaine qu’il fallait porter en priorité les efforts communaux.

Car la vie d’une personne et, à fortiori celle d’un enfant, n’a évidemment pas de prix. Surtout pas celui d’une salle socio-culturelle pharaonique à la nécessité plus que douteuse……..

Le projet d’aménagement de la place de l’école qui prévoit 40 places de parking devant la cave et 5 places en bordure de route ne résout rien !!

Les besoins permanents de stationnement : - 14 véhicules d’enseignants et autres employés de  l’école, 6 véhicules pour le personnel de la cave, et quelques véhicules de « covoiturage » ainsi que les commerces ambulants.

Où stationneront les parents d’élèves, les clients de nos commerces ? Sachant que le parking de la Poste devrait être transformé en cantine scolaire pour la rentrée 2010….

Où vont se garer les usagers de La Poste ? Un service public déjà en grand danger en milieu rural.

Le parking de la salle socio culturelle semble déjà trop petit avant même d’avoir servi.

48 places pour une salle prévue en capacité, pour 300 personnes maximum.

Cela promet un sacré b- - - - - -du côté de la potence et du stade !!!

A moins d’utiliser les courts de tennis tant qu’il n’y a pas de bénévoles animateurs…!!!

Pour aller à Donissan, attention danger !!!

Chacun aura remarqué la dangerosité du carrefour des routes de Lamarque et de Donissan à la suite d’une nouvelle construction. L’accident n’est qu’une question de jour. Va-t-on attendre là aussi, les conséquences pour agir ?

Encore un exemple de la gestion de l’urbanisation. Il semble qu’il n’était pas difficile d’imaginer que des constructions, autorisées si près du virage (attendons que la clôture pousse) allaient gêner la visibilité. Que l’on soit bien clair, ce n’est pas le demandeur du permis de construire qui est en cause mais les administrations, dont le devoir est de veiller à la bonne application de la réglementation, dans le respect de la sécurité et des droits des citoyens.

Ecrivez à La Vigie,  faites-nous part de toutes ces anomalies, conséquences d’une gestion irresponsable.

Le prochain numéro de La Vigie sera consacré aux aberrations post-urbanisation : absence de voies piétonnes, carrefours dangereux, inadaptés, nuisances de proximité, problèmes laissés à la charge des habitants (juridiques, matériels..)

L’avis de Listrac-Avance :

La nécessité d’un terrain centre ville aurait dû être une priorité. Il nous semble important de poser la question sur le foncier : un terrain permettant de recevoir le développement de l’école avec ses besoins en classes, en parking, en sécurité des abords, en salles pour les associations.

2 possibilités : Bien sûr  l’espace de l’actuelle mairie et l’espace de stockage de la scierie

LE FINANCEMENT ? Si l’on considère le coût de la rénovation de l’ancienne mairie, de la salle de « concerts », des travaux d’aménagements devant l’école, du déplacement de la cantine...

LE COMPTE EST BON !!!

Le dernier numéro du bulletin municipal fait état des commerces dans la commune. Hormis les absents, on apprend que la Maison du Vin n’est pas le commerce représentatif des viticulteurs de Listrac, les viticulteurs indépendants apprécieront !!!

Nous n’insisterons pas sur les commerces qui n’auraient pas dû être cités pour cause de réglementation sur la publicité.

Page n° 7 et 8 : Dans la rubrique « les associations », nous avons noté l’absence de Vivre à Listrac et de son activité phare : La Tournée des Cuviers.

Page n° 9 : Le CCAS, rien ou presque !!! Le CCAS, centre communal d’actions sociales, est composé d’élus de citoyens représentatifs, proposés par les associations, des syndicats et nommés par arrêté municipal.

Le CCAS a pour devoir de répondre aux difficultés sociales des habitants de la commune. Il donne également son aval pour l’obtention de carte d’aide auprès des associations caritatives.

Parler du CCAS, c’est en donner le bilan, quel a été son action durant la tempête ? Combien reçoit-il de demandes d’aide, dans une année ?

Il nous paraît important de donner la liste de ses membres afin que chacun puisse solliciter le membre du centre le plus proche, facilitant ainsi la démarche des personnes en difficulté.

Le cadre Noir

La commune de Listrac a reçu les écuyers du Cadre Noir. Cette opération de promotion confidentielle a coûté fort cher aux contribuables pour un intérêt de communication très contestable.

La mairie a déboursé 1 500€, une « bricole » qui manquera à la rénovation des courts de tennis par exemple, ou bien qui aurait permis de ne pas augmenter la cotisation bibliothèque……...

Bibliothèque:

MERCI LISTRAC-AVANCE !!! Le dernier bulletin municipal faisait mention d’une cotisation de 40 € pour la bibliothèque, nous l’avions comparée dans la précédente Vigie, au prix de la médiathèque de Bordeaux.

A notre grande satisfaction, le prix de la cotisation a été ramené à 20 €. En passant de 10 à 20 €, c’est tout de même, une augmentation de 100 %.

Une trentaine d’élèves en plus à la rentrée 2009.

Une nouvelle classe en 2007 + Une nouvelle classe en 2008 + Une maternelle et dortoir en 2008 + Une en 2009 et peut-être + Une en 2010 suivant l’évolution démographique liée à l’urbanisation tout azimut.

Il faut également considérer que les tous derniers scolarisés ont 8 années à passer à l’école.

Seule solution pour la création de ces classes : « La Bricole ». On pourrait en mettre 20 ici, remplir un peu plus les autres classes, ça laisserait le temps de déplacer la cantine sur le parking de la poste. Bien sûr, il y aura moins de places de parking,  oui mais on n’avait pas prévu et on n’a plus de places !!!A ben oui, on n’avait pas prévu !!! Et puis vous savez, les enfants grandissent et après on ne les voit plus !!!

Cette méthode de gestion s’appelle la gestion des conséquences. On verra bien ce qu’il est possible de faire quand le problème nous sera posé. Sauf que, le rafistolage coûte cher aux finances communales et ne correspond pas aux besoins, car il est toujours difficile d’adapter un local au coup par coup.

L’évolution de l’urbanisme aurait certainement mérité une autre réflexion. Les besoins scolaires n’ont pas été appréhendés, un projet global sur l’évolution de l’école était indispensable, avec pourquoi pas la prévision d’une reconversion des locaux dans une vision a plus long terme. Aujourd’hui nous constatons les conséquences.

Il fait obligation à chaque commune de présenter une plan de sauvegarde. Plan de Sauvegarde qui a fait défaut à Listrac lors de la tempête de janvier dernier.

La CDC la Médulienne, Communauté des Communes dont Listrac fait partie, prépare la rédaction d’une procédure utilisable par chaque commune.

Ce document est très général, il nous semble important que la rédaction soit faite en concertation, pourquoi pas avec le CCAS, afin d’y apporter les précisions liées aux spécificités de notre commune

UN LIVRE, UN ELEVE

Les premières cotisations de Listrac-Avance sont arrivées et nous ont permis d’offrir un livre à chaque élève de l’école communale, soit 280 livres.

Voir les articles du Journal du Médoc et du journal du Sud-Ouest.

Ramassage des déchets sur les bords de routes,

En septembre : journée balade découverte du patrimoine communal,

En décembre : le Téléthon

▪ Qui a piqué le groupe électrogène municipal, lors de la tempête de janvier ?

►Nous attendons la réponse…

▪ Qui a payé les approvisionnements décongelés de la cantine ?

►Merci aux contribuables d’avoir assuré...